Seinfeld
Dans son propre rôle de comique, le bavard Jerry Seinfeld mène une vie qui ne le gâte pas tout le temps, notamment à cause des femmes. Avec son collaborateur malhonnête et son voisin loufoque, Jerry analyse toutes les petites choses du quotidien et les absurdités de la société.
| Terminée | Américaine | 25 minutes |
| Comédie, Comedy | NBC, France 2, HBO | 1989 |
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1.04 -
Le casse-pieds
Male-Unbonding
Jerry est bien en peine: il souhaiterait trouver une manière élégante de se débarrasser d'un ami à lui, Joel, qu'il juge un peu trop casse-pieds à son goût. Mais comment y parvenir sans le froisser ?
Diffusion originale : 14 juin 1990
Diffusion française :
14 juin 1990
Réalisat.eur.rice.s :
Tom Cherones
Scénariste.s :
Jerry Seinfeld
,
Larry David
Guest.s :
Anita Wise
,
Frank Piazza
,
Kevin Dunn
,
Kimberley LaMarque
,
Kimberly LaMarque
,
Larry David
Tous les avis
nicknackpadiwak
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Critique : Seinfeld 1.05
Pour son premier season finale, Seinfeld propose un épisode faible, doté de quelques répliques bien senties, mais d'une incapacité à libérer Georges et Elaine de la présence de Jerry.
Critique : Seinfeld 1.04
Après trois épisodes de mise en place, The Robbery est le premier véritable épisode de la série et l'exemple parfait de son humour. Ici commence le début d'une grande série et d'un immense succès.
Critique : Seinfeld 1.00
Jerry Seinfeld, comique de stand up new-yorkais, partage sa vie entre son métier et ses deux amis: Georges, New-Yorkais complexé au comportement névrosé et Kramer, voisin lunaire pique-assiette au chômage. Ce pilote fut diffusé en 1989 sur NBC et la série fut en son temps l'une des sitcoms phare des années 90 avec plus de trente millions de spectateurs. Pour mes chroniques oldies, j'ai donc décidé de m'attaquer à ce qui fut en son temps le meilleur show comique américain.
Le premier très bon épisode. Même si il n'est composé que d'une seule histoire, c'est un quasi sans faute, drôle dès l'intro (le speech sur les doigts d'honneur) jusqu'à la scène finale avec les 3 sur la canapé lors de la crémaillère.
Julia Louis-Dreyfus s'amuse comme une folle (la scène de la visite de l'appart) et la complicité avec Seinfeld est évidente, Jason Alexander a calmé son jeu, est moins hystérique et plus drôle (le pierre-feuille-ciseau ou le lancer de pièce), tandis que Michael Richards, un peu en retrait, commence à prendre possession de son personnage et s'amuse à lui octroyer des mimiques et des gesticulations drôles.
La série vient de vraiment démarrer....
Le gag qui m'a fait XPTDR :
Kramer a quitté l'appart de Jerry en laissant la porte grande ouverte pendant des heures et ce dernier a été cambriolé.
- You have insurance, right, buddy?
- No.
- How can you not have insurance??
- Because I spent my money on the Clapco D-29. It's the most impenetrable lock on the market today. It has only one design flaw : The door....MUST BE CLOSED ! (avec son voix aiguë quand il joue (mal) la colère et que j'adore)